Nouvelles de l'URSS
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Vic Ratsma |
Environ 70 % des familles ayant des enfants vivent en dessous du seuil de pauvreté en Russie, a dit Galina Karelova, Premier ministre Député responsable des questions de politiques sociales. Elle a dit que les revenus de ces familles sont au-dessous du minimum vital.
Selon Karelova, le gouvernement a assigné tous les ministères du bloc social pour créer un base de données sur les enfants et les familles dans "une situation sociale dangereuse". Selon la statistique, 4762,845 familles sont dans un état "de pauvreté extrême." Elle a aussi aperçu les chiffres du Ministère de l'Éducation Nationale, disant que 26,220 enfants ne sont pas allés à l'école le 1 septembre 2002, y compris plus de 1,5000 enfants qui ne sont jamais allés à l'école en raison de la pauvreté extrême.
Selon le Ministère de l'Intérieur de la Fédération de Russie, 681,000 enfants ont été retenue par la police en 2002. "Ces données montrent que le problème de la négligence des enfants est des plus urgent en Russie."
Commentaire. Nous nous demandons si M. Poutine ne lit jamais les rapports de ses Ministres?
En Russie:
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Felix Gorelik |
En Russie un jour férié en suit un autre. Des centaines de millions de dollars ont été dépensé pour rendre St. Pétersbourg plus beau pour les chefs d'Etat étrangers pour le 300 Anniversaire de la ville. Poutine bien sûr fringuant autour montrant les sections de la ville qui ont été refaits, laissant de côté les autres parties, à ces chefs d'Etat étrangers. Il s'est présenté comme un disciple amoureux de Pierre le Grand. Mais Pierre a défait les Rutabagas et a ouvert une fenêtre sur l’Europe.
Mais Poutine peut à peine même prétendre qu'il a défait les Tchétchènes.
Poutine a certainement ouvert les portes de la Russie et a dit aux Européens et aux Américains, venez ici et prenez ce que vous pouvez porter! Après cette cérémonie a eu lieu le jour férié "de l'Indépendance de la Russie" Mais de qui cette "indépendance" comme cela été déclarée par Yeltsine le 12 juin, 1990? De l'URSS! C'était le premier pas fatal vers le démembrement de l'URSS. À ces deux occasions Poutine a parlé des accomplissements glorieux, d’un boom de l'économie, de la démocratie, etc.
Évidemment c'était pour le bénéfice des invités étrangers, pas pour les gens, qui savent autrement. Juste un exemple, la paie d'un enseignant qualifié est seulement 800 roubles par mois – 3 fois plus bas que ce qui est exigé pour un niveau de vie minimal. Certains de ces salaires ne sont pas même payés pendant beaucoup de mois à la fin.
Mais, voici un autre côté à ces "vacances" comme le sang sur l'asphalte. À la veille du 300ème Anniversaire de St. Pétersbourg (Leningrad), à Moscou a été assassiné Konstantin Yakovlev, connu comme "Kostya Mogila" un gangster clandestin En plus de lui, deux autres Moscovites ont été abattus. Ceci a été annoncé par tous les médias. Il était le patron des gangsters de tout St.-Pétersbourg. Il a gouverné toutes les gangs de St. Pétersbourg de la part de ses maîtres dans le gouvernement. Il est le résultat de la politique de Poutine et de "la liberté" et de "la démocratie".
Comme un patron-tueur embauché, Kostya a des liens avec certains segments du gouvernement et est responsable du meurtre même de l'orateur du Conseil russe à Leningrad. Il est un homme d'affaires connu, contrôlant le marché médical, le pétrole et le gaz. Ceux hommes d'affaires nouvellement cuits avec des contacts dans les échelons supérieurs du gouvernement, existent dans toutes les anciennes républiques Soviétiques. Un tel racketteur avec des liens au sommet en Ukraine, dans la région de Donetsk, Alika Greka a en quelques années accumulées plus de 1,7 milliards de $. Il y a des assassinats faisant rage entre ces racketteurs et leurs protecteurs pour l'influence et une part plus grande de la tarte.
Le sang n'était pas sec encore quand – un autre racketteur qui a été embauché par le fabricant de conglomérat privé le plus grand fabriquant d’armes) pour garder leurs affaires avec leur propre – l'armée de gardes, a été abattu à Moscou. Il est soupçonné que le fabricant d'armes de la Russie l'a fait éliminer. Tous ces meurtres sont le produit de la vente par lots entre les éléments criminels et le gouvernement de Putin plus les sociétés multinationales rivalisant pour le contrôle de la richesse minérale de la Russie.
Les asphaltes de la Russie et l'Ukraine ne sèchent pas du sang. Juste en 2002 a là été assassiné 18 savants supérieurs, scientifiques et des professeurs. Ne fait plus les gangsters pour la location par le présent(cadeau).
Concentré de régime sur banquiers, Financiers, casino et jeu des
entreprises, maintenant ils sont après le intellect professionnel' copains qui
plus souvent critiquez maintenant et condamnez le Politique des régimes
présents.
Aussi... puisque les régimes capitalistes présents ne soutiennent pas d'éducation comme ils doivent et l'entretien d'universités, des constructions (bâtiments) et les locaux différents des facultés, les gangsters de la part de leurs maîtres veulent reprendre ces constructions (bâtiments). Quelques institutions éducatives sont forcées de donner en location la propriété, d'autres font faillite et sur ces les gangsters se battent et les assassinats sont un résultat très commun de ces luttes. Ceux qui ne seront pas subornés, ou ne donneront pas en location, sont condamnés – la phrase (sentence) est alors effectuée. Mais la question est où la police et est l'appareil d'état?
Mais Putin parle juste, et des pourparlers et des pourparlers. Ces jours fériés en Russie commencent à être connus comme tuant des vacances de raison(terre). Les apparatchiks russes d'état et leurs amis de gangster se divertissent et dansent dans tous les clubs de nuit, tandis que les coups de feux retentissent dans les villes. De nouvelles victimes tombent dans des bains de sang sur les asphaltes des villes.
De jeunes Soviétiques Manifestent Contre le Régime actuel en Russie et en Ukraine!
Des slogans comme "Poutine, vous avez reçu une éducation gratuite, en ce qui nous concerne nous?" "Nous avons besoin de bourses!" [Picture captions]
«Nouvelles d'U.R.S.S.»
p 4, no. 47, août 2003
À l'usine «Faucille te Marteau» de construction de moteurs de Kharkov – qui s'est rendue célèbre non seulement par ses exploits au travail dans les années du Pouvoir soviétique, mais également par ses traditions révolutionnaires remontant à la première révolution russe de 1905 – s'est tenu, le 24 mars, un meeting du personnel de l'entreprise avec pour revendication le paiement des arriérés de salaires et la reprise de la production. Ce meeting a été organisé par l'organisation syndicale de l'usine et s'est déroulé, comme l'on dit, à huis clos. Ni les représentants des moyens d'information de masse, ni ceux des différents partis politiques n'avaient été autorisés à pénétrer sur le territoire de l'usine.
À la fin du meeting, le Président du Comité d'ateliers et deux dizaines d'ouvriers parmi les plus actifs sont sortis sur le pas de l'entrée principale de l'usine où ils ont donné une interview aux journalistes de la chaîne de télévision «Simonn». Après l'intervention du Président du Comité d'ateliers, les ouvriers ont donné la parole au camarade A. N. Séréda, Secrétaire de l'Organisation des bolcheviks de Kharkov, ancien tourneur de l'usine «Faucille et Marteau», licencié par l'Administration pour son activité révolutionnaire militante qui S'est manifestée dans l'organisation de grèves à l'usine avec revendications politiques dans les premières années du coup de force contre-révolutionnaire. Dans sa brève allocution, le camarade Séréda a caractérisé le véritable état des choses à l'usine «Faucille et Marteau» sur le plan économique, accusant la direction de l'usine de véritable déprédation des fonds fixes de production et des matières premières, de liquidation de l'infrastructure sociale appartenant à l'usine (jardins d'enfants, maisons d'habitation, stade et autres) et a appelé les ouvriers de l'usine à la lutte économique et politique active non seulement contre l'Administration de l'usine, mais également contre le capital dans son ensemble.
Mais on sent bien, aux remarques et interventions des ouvriers, qu'ils sont démoralisés par la situation économique et politique qui s'est installée à Kharkov et dans toute l'Ukraine et ne voient pas d'issue à leur désastreuse conditions de misère. Bien qu'une grande quantité d'exemplaires de la «Rabotché-krestyyanskaya pravda» soit envoyée chaque mois à l'usine et diffusée parmi les membres du personnel par les ouvriers conscients et actifs de l'usine, il leur manque la conscience de classe qui seule permettrait l'union étroite de leurs rangs pour la lutte de classe organisée sur le front non seulement économique, mais également politique.
Ce sont en tout premier lieu la direction du P.C.U. et les organisations syndicales qui sont au plus haut point coupables de cette démoralisation de la classe ouvrière non seulement de l'usine «Faucille et Marteau», mais également de toute l'Ukraine. En prêchant dans les masses prolétariennes l’idée du partenariat social entre bourgeoisie et prolétariat, entre capitaliste et ouvrier, l'idée de l’«indépendance» de l'Ukraine bourgeoise et de son existence en tant qu'État, le P.C.U. et les syndicats désorganisent la classe ouvrière, y sèment l'illusion selon laquelle on pourrait parvenir à améliorer la situation matérielle de la classe ouvrière par la voie réformiste dans le cadre de l’État de droit de l'Ukraine. Et même ces douze années de lutte parlementaire, qui n'ont jusqu'à présent apporté aucune amélioration de leur situation matérielle aux ouvriers, n'ont toujours rien appris à la classe ouvrière de notre pays. Elle continue à croire les promesses mensongères des Simonenko, Alexandrovskaya, Bondartchouk et autres faux communistes selon lesquelles, une fois remplacé le méprisable Koutchma par Youchtchenko que «tout le monde estime», il sera possible de stopper la crise économique en Ukraine et de relancer la production et par cela même, d'assurer des conditions normales de vie à la classe ouvrière et à toutes les autres couches prolétariennes et semi-prolétariennes de notre société.
À ce propos, l'Organisation des bolcheviks de Kharkov s'adresse à la classe ouvrière, à l'ensemble du prolétariat de Kharkov et de tout le pays:
Camarades!
Vous voyez tous aujourd'hui à quoi mènent les contradictions au sein du système mondial du capitalisme. La guerre que mènent en Irak les impérialistes des É.U.A. et de l'Angleterre est le moyen à l'aide duquel le capital tente de sortir de la crise économique mondiale, qui va en s'aggravant, du système capitaliste de gestion de l'économie. La guerre dévoie la classe ouvrière des pays capitalistes de la lutte de classe contre le capital en la transformant en un mouvement pacifiste. Tandis que des centaines de millions de gens meurent de faim sur la planète en même temps qu'une petite poignée d'impérialistes s’engraissent, au sens littéral du terme, de leurs malheurs, ces anthropophages se battent encore entre eux pour les il p. 100 des réserves mondiales de pétrole concentrés en Irak. Et lorsqu'ils auront avalé le pétrole irakien, ils bombarderont encore d'autres pays où il y en a et qui ne désirent pas le céder aux Américains. La poursuite de la plus-value n'arrêtera les capitalistes devant aucun crime; les vies des populations civiles d'Irak, d'Afghanistan, d'Iran, de Palestine, d'Algérie et des autres pays ne coûtent rien au capital, c'est pourquoi il en dispose avec une telle légèreté.
L'Ukraine, tout comme les autres républiques de l’U.R.S.S., a été transformée en néo-colonie de l'impérialisme mondial, tandis que son gouvernement, quel qu'en soit le président, n'est qu'une équipe de simples intendants de messieurs Rockefeller, Morgan, Soros et Cie. C'est pourquoi, en restant ce qu'elle est, elle ne sortira jamais de la crise économique dans laquelle l'a plongée le coup de force contre-révolutionnaire. Il n'y a qu'une seule issue: la révolution socialiste et l'internationalisme prolétarien! Mais pour l'accomplir, il faut une classe ouvrière révolutionnaire organisée., conduite par son parti ouvrier marxiste-léniniste qui est la seule force sur la planète capable de remplacer la dictature de la bourgeoisie par la dictature du prolétariat et de procéder à la création de la société communiste!
C'est pourquoi les bolcheviks de Kharkov proposent à tous les ouvriers conscients des usines et fabriques et des entreprises privées de Kharkov, à tous les autres camarades conscients, de procéder au rassemblement de leurs forces pour la lutte révolutionnaire contre le capital.
L'Organisation de Kharkov du P.C.B.tU.S.
KHARKOV, le 24 mars 2003.
«Nouvelles d'U.R.S.S.».
p 6, no. 47, août 2003
Article publié dans le journal russe de la J.G.B.t.U.S.
"Révolyoutsiye"
no. 12, 2003
Le 28 novembre 2002, un groupe de travailleurs du dpôt de trolleybus et de tramways a tenu un piquet devant l'Administration du krai de Krasnoyarsk pour exiger le paiement immédiat des salaires dont l'arriéré remontait à deux mois et demi au moment du piquet. Parmi les autres revendications des piquétistes, il y avait également le financement des transports municipaux dont le matériel présente déjà un taux d'usure de 65 P. 100.
Les travailleurs ont déclaré aux autorités kraiales que si l’arriéré de salaires n'est pas payé dans les dix jours, le matin suivant, pas un seul tramway ni trolleybus ne sortira sur les lignes. Il est remarquable que les travailleurs n'ont pas demandé la réduction du nombre des bénéficiaires d'avantages sociaux dans les transports municipaux, comprenant que les retraités, les infirmes, les étudiants et autres ne sont pas non plus des gens riches et que ce ne sont pas eux les responsables du manque d'argent pour payer les travailleurs des transports. L'argent, c'est la direction de l'entreprise de transport et toute une nichée de fonctionnaires qui le gardent outre ce oui est intégralement corrompu par le fric de la bourgeoisie et qui, jusqu'à l'année dernière, a longtemps berné et mené les travailleurs par le bout du nez.
Et voilà que le 4 décembre, les employés du parc d'autobus municipaux ont versé de l'huile sur le feu. Leurs salaires ne leur sont pas payés depuis plus de trois mois, l'usure du matériel atteint un taux de 87 P. 100 et 60 p. 100 du matériel est immobilisé dans les hangars pour réparation pendant que la ville n'est desservie que par les 40 p. 100 restants. Intervenant à la télévision, le représentant du comité syndical maison des travailleurs des autobus a fait savoir aux autorités, en prenant une mine d'enterrement, qu'il n'est pas en force, comme il dit, de gouverner ses subordonnés et de les retenir et que, dans la mesure où les salaires ne sont pas réglés avant la nouvelle année, ils commenceront à lutter pour de bon, en dehors de tout syndicat, en sortant du cadre de la légalité. Les ouvriers ont en effet déclaré qu'ils barreront les grandes artères de la ville au moyen de véhicules et qu'ils ne partiront pas tant que l'argent n'aura pas été payé dans sa totalité, tandis que, de son côté, l'Administration du krai ne s’engage nullement à accorder un financement suffisant aux transports. en bref, on peut tout obtenir si l’on met ses menaces à exécution et ne se limite pas à agiter les poings pour* rien. à présent, à Krasnoyarsk, les travailleurs interviennent ensemble, ceux des tramways et trolleybus et ceux des autobus, au coude à coude et résolument.
Y. POUGATCHYOV
KRASNOYARSK.
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